C’est avec beaucoup de plaisir que je me suis retrouvée au micro de Sophie Nouaille pour son podcast Ouvrons la fenêtre. « La violence, symptôme d’une société déconstruite ? »Une heure pour parler de violences psychologiques, physiques. D’inceste. D’éducation. De féminisme. Mais aussi d’amitiés, de responsabilités, de construction et d’avenir, de complots et des wokes.
Et je ne cesserai de répéter ce que je dis dans ce podcast – entre autres : « L’inceste, c’est le corps d’un adulte qui rentre dans le corps d’un enfant ».
Cet échange est tellement réaliste… et nous oscillons entre l’envie d’y croire et la fatalité, entre l’espoir et la désillusion.
Pourquoi ne peut on pas éradiquer la violence ? Est ce à comprendre dans le sens zéro? La violence n’est pas un gène, pourquoi ne pourrait on pas l’eradiquer? Du moins la violence à autrui, celle qui ne s’exprime pas quand on la ressent. L’humain n’est pas violent par essence. C’est l’existence qui lui apprend et ça, on PEUT changer tout non?…
Et cette phrase… j’aimerais tellement savoir comment chacun l’entend la comprend la ressent!! Les adultes, homme, femme, père, mère, enfant, victime ou non, frère, sœur, grand parent… Ces mots ont le mérite d’etre clairs. Mais ne sont ils pas un euphémisme pour parler de l’inceste? En quoi une telle formulation peut elle être utile…? Merci de forcer nos propres interrogations pour nous éveiller, grandir et sans cesse se rapprocher de l’autre dans sa souffrance et sa lumière